dimanche 29 janvier 2012

Naissance de Coons chez Katoochat pour le 15 février prochain




Tant que l'on est dans l'actualité des chats, j'ai le plaisir de vous annoncer que Fanfan et Elliot attendent un heureux évènement pour le 15 février. La maman, bien calée près du radiateur, se porte à merveille et n'arrête pas de ronronner. Nous devrions avoir du chaton black smoke (comme manan), du brown et de la femelle tortie (trois couleurs).


Si vous agrandissez l'image, on voit la colonne vertébrale de 5 chatons

samedi 28 janvier 2012

CatNews : Welcome Ginger de l'amour des Coons



Une nouvelle pensionnaire est arrivée aujourd'hui dans notre chatterie Katoochat. Il s'agit d'une petite rouennaise provenant de l'élevage L'amour des Coons. C'est une Black Silver Blotched Tortie de 3 mois et qui pèse déjà 2 kg ! Ses parents ont des origines alémanique produisant de beaux gros chats massifs avec un museau carré, des oreilles longues, bien droites et des plumets grands comme ça .... Elle est déjà très calme et posée. Bref, c'est de la pure crème de Coon. A l'heure ou j'écris ces lignes, elle dort sur mes jambes, trop dure la vie !


Maman 'Bloomingtree Lucky star'
Brown blotched tortie tabby

Papa 'Dreamer du seigneur des anneaux'
red silver brotched tabby & blanc

Mademoiselle a déjà pris ses marques et surveille les imprudents volatiles depuis la cuisine

vendredi 27 janvier 2012

Oracle Extreme Performance Tour à Paris

Vu sur le MagIT Oracle : les clients français adhèrent à la stratégie du tout-intégré - Le 26 janvier 2012 (16:42) - par Cyrille Chausson

A l’occasion de l’édition parisienne de l’ Extreme Performance Tour, dédiée à la cause de son offre hardware, Oracle est venu évangéliser ses offres pré-intégrées face à un parterre de partenaires et de clients. Une formule qui, aussi récente soit-elle, semble avoir séduit les clients présents. Et tant pis pour HP...

Exalogic, Exadata, Exalytics, SuperCluster, Oracle Database...depuis le rachat de Sun par Oracle, la firme de Redwood Shore, reine de l’applicatif d’entreprise, a multiplié les offres intégrées. Et a quelque peu ajusté son modèle. C’est justement cette approche qu’Oracle est venue défendre hier mercredi 25 janvier, lors de son Extreme Performance Tour. Une manifestation itinérante, dédiée à la division Hardware du groupe, qui s’est posée ce jour à Paris (après Milan et avant Munich) pour porter la bonne parole à ses clients et partenaires.

D'emblée le ton est donné par Loïc Le Guisquet, vice président d’Oracle France (en photo), pour qui le groupe mène une stratégie qui vise à rendre «l'IT plus simple de façon à permettre aux entreprises de dégager du temps pour l’innovation». Un processus de rationalisation en somme, illustré par «un modèle d’intégration de plusieurs briques pré-intégrées, prêtes à l’emploi». Et c’est à cette notion d’intégration que le groupe consacre une partie de ses quelque 4 milliards de dollars de R&D, souligne-t-il.

On l'aura compris, le hardware et le tout-intégré sont devenus le nouveau cheval de bataille du groupe. «La question ne se pose plus sur la volonté et l’engagement d’Oracle en matière de hardware», nous rappelle Harry Zarrouk, le patron du hardware chez Oracle France (et ex-Pillar Data Systems). Il est vrai que certaines questions se posaient. Si Oracle a fortement investi sur ce segment, les ventes n’ont pour l’heure que faiblement décollé. Elles ont même reculé de 14% au dernier trimestre, marqué il est vrai par l'attentisme des clients alors que les Sparc T4 venaient d'être annoncés (voir à ce propos notre article sur les résultats financiers du groupe pour son 2e trimestre).

Sans parler de l’affaire HP / Itanium. «Un coup de poignard» - selon un client présent lors de la conférence -, mais qui pourrait profiter à terme à la progression des ventes de systèmes Oracle. En stoppant les développements pour Itanium, Oracle laisse ses clients qui font tourner le SGBD ou les applications maison sur du matériel HP, sur le bord de la route. Leur laissant soit le choix de ses propres technologies, soit celui des plates-formes x86, soit celui de migrer leur base vers l’Open Source. Ce que nous indiquait Nicolas Leroy-Fleuriot, patron de la SSII bordelaise Cheops Technology, lors d’un récent entretien.

Les coûts, un argument clé chez les clients

Pour Oracle toutefois, rien ne doit venir noircir le tableau du tout-intégré à la sauce Oracle. Pas même la crise, qui, comme l’indique Harry Zarrouk, doit être un catalyseur pour des investissements différents. Comprendre dans les «Engineered Systems» (les solutions intégrées dans le vocabulaire du groupe), bien sûr.

Mais les clients et partenaires de la firme étendent-ils ce discours ? Dans leur grande majorité, oui. A l’image du représentant d’un grand compte français qui a tenu à rester anonyme, pour qui l'approche très intégrée offerte par Oracle, a certes une valeur technique, mais surtout une valeur commerciale. Pour cet utilisateur, 100% Oracle (son entreprise a déployé la base de donnée du groupe, la couche middleware WebLogic, le tout sur des serveurs Sparc), les systèmes intégrés sont «toujours un bienfait pour le client [d’un point de vue technologique, NDLR].
Ensuite, il y a également l’aspect commercial. Si choisir des matériels Oracle permet de faire des économies d’échelle en termes de licences, le client ne se posera pas de questions», souligne-t-il. Mais que penser alors de la décision d’Oracle de stopper les développements pour Itanium et de priver HP d’une partie du marché ? Pour lui, le constat est le même. Si on trouve moins cher ailleurs (dans son cas, il s’agit d’Oracle), pourquoi se plaindre, explique-t-il.

Pour un partenaire Oracle (qui a également souhaité rester anonyme), cette notion de tout-intégré a surtout des mérites techniques : celle d’accélérer les interconnexions entre le logiciel le hardware. «Tout est une question de liaison. Les interconnexions entre systèmes sont plus rapides que les connexions réseaux, souligne-t-il, bien plus rapides que des briques reliées par de la fibre par exemple. Cette approche les rend plus performants que chez les concurrents. On ne note pas de perte de performances, surtout avec l’optimisation du code.»

Un son de cloche identique pour un autre client (également anonyme) - qui travaille dans une grande société de service IT et d’hébergement - pour qui cette approche intégrée permet d’avoir un guichet unique. «Si on n’a pas envie de faire de l'IT, l’offre d’Oracle est attrayante, d’autant que le support répond bien.» Mais selon lui, cela peut être à double-tranchant. «Cette notion de fournisseur unique implique de rester avec un acteur qu’on ne maîtrise pas». La fameuse «boite noire», en somme. Mais, il reconnait toutefois que ces «appliances ont de quoi rassurer les clients». La preuve «qu'Oracle et Sun ont grandi ensemble», soulignait à ce propos John Fowler, l'emblématique vice-président des systèmes chez Oracle, qui avait fait le déplacement à Paris.

mercredi 25 janvier 2012

Harry Zarrouk nommé directeur chez Oracle France

Après avoir présidé aux destinées de Pillar Data Systems pour l'Europe du Sud avec un succès sans précédent, c'est avec un grand plaisir que j'ai appris la nomination d'Harry Zarrouk au poste de directeur des solutions hardware chez Oracle France. Diplômé Sup de Co Paris et titulaire d'un Master à Oxford, Harry a travaillé successivement dans le monde des télécoms chez US Robotics, 3Com, Avaya, puis s'est tourné vers le monde du stockage où il a contribué au succès de Network Appliance. Homme de challenges, il a intégré en 2006 Pillar Data Systems , la startup du stockage financée par Larry Ellison, en tant que directeur des ventes puis directeur South EMEA. Connaissant son charisme et sa puissance de travail, nul doute qu'il va inspirer les équipes et permettre à Oracle d'atteindre des objectifs ambitieux dans les prochains mois. en s'appuyant sur les offres EXADATA, EXALOGIC, SUPERCLUSTER ou encore le méga vBlock maison pimenté à la sauce salsa, j'ai nommé 'REDSTACK'.

Inauguration du Dépôt tramway / Centre de Maintenance CLEO

Le dépôt tramway de Saint jean de Braye a été inauguré aujourd'hui par le Président de l'AgglO Charles-Eric Lemaignen et David Thiberge, Conseiller Général & Maire de Saint Jean de Braye devant les élus de la Communauté d’Agglomération d'Orléans Val de Loire. Une visite guidée par Pierrick Poirier, Directeur Général de keolis Orléans Val de Loire a permis de découvrir les métiers de la maintenance tramway.


Charles-Eric Lemaignen (à dr) David Thiberge (à g)
De nombreuses personnes ont répondu présent à l'invitation

jeudi 19 janvier 2012

Exclusivité VMUG France/Cisco : Rencontre Han Yang


Cisco propose à quelques membres du VMware User Groupe France de rencontrer, en (très) petit comité, pendant une heure Han Yang, Product Manager des solutions réseau virtualisées (Nexus 1000v, vASA, VSG). Ceci n’est pas une présentation produit mais une heure d’échange interactive.


Quelques informations :

Places : 7
Langue : Anglais
Date : 9 février
Heure : 14h30 – 15h30
Lieu : Cisco France / Issy Les Moulineaux

L’inscription se passe sur le forum du VMware user Group, pour cela il suffit de laisser un message à la suite de ce dernier.

Le nombre de places étant (très) limité, nous prioriserons les clients finaux néanmoins, si plus de 7 personnes souhaitent participer nous effectuerons un tirage au sort lundi 6 févier.

Premier essai sur un tronçon de ligne du tram CLEO

Un nouveau moment important voir historique s'est déroulé à Orléans aujourd'hui. Une première rame Alstom Citadis 302 a roulé 3,2Km en essai sur la nouvelle ligne de tramway CLEO jusqu'au quasi centre ville.



Tram Citadis 302 sur le remisage de Saint Jean de Braye


De nouveaux panneaux fleurissent en ville rappelant à tous de prendre de nouvelles habitudes



Daniel, notre conducteur a été vigilant. Les essais se sont déroulés à une vitesse moyenne de 5km/h


Le président de l'AgglO Charles-Eric Lemaignen est venu en personne saluer cette sortie

Des gabarits ont été utilisés pour vérifier l'écartement des quais par rapport à la rame



Arrivée au terminus provisoire rue Eugène Vignat face au lycée Pothier où un public attendait impatiemment



Allez, je suis partageur : un petit tour de l'intérieur ...



Les essais sur la zone APS (alimentation par le sol) se dérouleront dans un second temps.

mercredi 18 janvier 2012

HOWTO Netbackup 7.1 sous vSphere

face aux nombreuses questions que me posent un certain nombre de confrères sur l'usage de NetBackup 7 en environnement VMware vSphere 4/5, je me suis décidé à vous soumettre ce petit post.

Il n'est pas un temps si lointain ou sauvegarder l'ensemble de ses machines virtuelles constituait une vraie galère. Chacun y allait de sa méthode : les uns préféraient installer un agent dans l'OS comme dans le monde physique, les autres préférant installer un agent au sein même du COS de l'hyperviseur. Certains n'hésitaient pas à faire un mix des deux pour avoir contenu et contenant. Il n'était pas rare de constater des hosts dont les CPUs étaient saturées à 100% d'interminables heures le week-end, de voir des LUNs avec une latence insoutenable du fait des IO storms qui se produisaient. Avec VMware 3.5 est apparu la possibilité d'intégrer une machine proxy VCB Windows, sur laquelle on installait le framework du même nom, chargée de récupérer le snapshot des VMs et de les présenter offline au serveur de sauvegarde. Je crois que l'on est quelques uns à avoir cauchemardé sur leur implémentation et leur troubleshouting. D'autres auront sournoisement (sagement) utilisés ESXi-backup.pl, les lâches ! :)

Mais comme le dit la pub, ça c'était avant ...

Depuis, vSphere nous a gratifié des vStorage APIs for Data Protection (VADP) offrant une interface logicielle standard de dialogue et des fonctions off-load au sein de l'hyperviseur dédiées aux outils de sauvegarde. En traduisant le charabia technico-marketing en langage compréhensible il faut comprendre que ce sont les éditeurs des outils de sauvegarde qui bossent pour faciliter le pamarétrage et plus nous. Le COS lui est passé aux oubliettes : ben oui quoi, ESX est devenu ESXi.

Parmi les petits plus proposés par NetBackup, on dispose de VMware Intelligent Policy (VIP) qui permet d'ajuster automatiquement les flux de sauvegarde en fonction de l'environnement virtuel et de sa charge, la découverte puis la sauvegarde automatique de nouvelles VM, cerise sur le gâteau, à l'instar d'un AVAMAR ou d'un SIMPANA, la déduplication à la source. VADP, lui, prend la forme d'un VCB qui serait directement hébergé au sein même du serveur NetBackup.



Comme tout bon produit professionnel qui se respecte, Symantec recommande de mettre les mains dans le cambouis pour en tirer les meilleurs performances. Les fichiers en question se trouve dans le répertoire C:\Program Files\Veritas\NetBackup\db\config.
Lorsque vous changez une valeur, sachez qu''elle est prise en compte dynamiquement sans redémarrer l'outil. Il n'y a pas de règle absolue, cependant je vous soumets modestement les valeurs que j'ai pu expérimenter et considérer comme adéquates dans mon environnement (environ 2,5 To / heure sauvegardés en mode VTL sur l'une de mes baies Oracle Pillar Axiom 600 v3).

# Fichier NET_BUFFER_SZ contenant 1049600
-> Taille des buffers pour stocker les paquets réseaux lors des sauvegardes ( * 4) + 1024

# Fichier NET_BUFFER_SZ_REST contenant 525312
-> Taille des buffers pour stocker les paquets réseaux lors des restaurations ( * 2) + 1024)

# Fichier SIZE_DATA_BUFFERS contenant 262144
-> Zone de mémoire partagée entre les flux réseaux entrants et le process d'écriture sur bande

# Fichier NUMBER_DATA_BUFFERS contenant 16
-> Nombre de SIZE_DATA_BUFFERS lors de la sauvegarde sur bande

# Fichier SIZE_DATA_BUFFERS_DISK contenant 1048576
-> Zone de mémoire partagée entre les flux réseaux entrants et le process d'écriture si sauvegarde sur disque

# Fichier NUMBER_DATA_BUFFERS_DISK contenant 64
-> Nombre de SIZE_DATA_BUFFERS_DISK lors de la sauvegarde sur disque (VTL)

# Fichier NUMBER_DATA_BUFFERS_RESTORE contenant 256
-> Nombre de SIZE_DATA_BUFFERS ou SIZE_DATA_BUFFERS_DISK utilisés lors de la restauration

A présent, il faut déclarer le(s) serveur(s) ESXi ou le vCenter de la ferme dont vous souhaiterz sauvegarder les VMs : Host Properties/Master Server/Properties/Add



Indiquer le login/mot de passe pour le(s) serveur(s) ci-dessus via Media and Device Management /Credentials/Virtual Machine Servers


Il est possible de limiter les flux des VMs sauvegardées simultanément afin de s'affanchir d'éventuels IO Storm sur les datastores : NetBackup Management/ Host Properties/Master Servers/Resources Limit et sélectionner Datastore Il faudra redémarrer les process NetBackup pour que les valeurs soient prises en compte. Par exemple ici je limite le nombre de flux à 4.


Pour créer un job (appelé Policy dans le jargon NetBackupien), il faut cliquer avec le bouton droit de la souris sur Policies/New Policy. On donnera un nom explicite à son Job, c'est mieux pour s'y retrouver.


On indiquera réaliser un job de type FlashBackup-Windows (celui indiquant d'utiliser VADP)


Dansles options, je recommande de modifier le paramètre Client Name Selection et de le psotionner à VM Display Name, autrement dit le nom de la VM tel qu'il apparaît dans l'ESXi ou vCenter.



On indiquera à quel moment réaliser la sauvegarde et son type (Full, Incrémentale ...) :


On choisira la ou les VMs à sauvegarder au travers du browser


Inutile d'aller sur le dernier onglet, par défaut tous les lecteurs sont sauvegardés (Backup Selections) ALL_LOCAL_DRIVES. Une tentative de snapshot sera réalisée en tant que validation de la faisabilité du job lorsque l'on cliquera sur OK.

Pour lancer la sauvegarde, il faudra cliquer avec le bouton droit sur Manual Backup dans le menu contextuel et faire OK. Un snapshot apparaitra dans l'ESXi ou le vCenter conerné.


En espérant vous avoir été utile, Enjoy !

dimanche 15 janvier 2012

Vive Internet à la campagne ... en FTTH !

Vu sur Francemobiles.com

Deux mois après l'annonce nationale de l'accord entre les deux opérateurs, France Télécom-Orange et SFR ont présenté le détail du déploiement de la fibre optique pour la Communauté d'agglomération d'Orléans Val de Loire.

Après avoir initialisé le déploiement sur la commune d'Orléans située en zone très dense, France Télécom-Orange et SFR viennent de compléter leur couverture dans les zones moins denses.

C'est ainsi que l'ensemble des foyers des 21 communes de la Communauté d'agglomération d'Orléans Val de Loire situées en zone moins dense pourra bénéficier du raccordement au réseau de fibre optique (Boigny-sur-Bionne, Bou, Chanteau, La Chapelle-Saint-Mesmin, Chécy, Combleux, Fleury-les-Aubrais, Ingré, Mardié, Marigny-les-Usages, Olivet, Ormes, Saint-Cyr-en-Val, Saint-Denis-en-Val, Saint-Hilaire-Saint-Mesmin, Saint-Jean-de-Braye, Saint-Jean-de-la-Ruelle, Saint-Jean-le-Blanc, Saint-Pryvé-Saint-Mesmin, Saran, Semoy).

L'engagement pris par les deux opérateurs est de couvrir chaque commune dans les 5 ans qui suivent l'initialisation des déploiements qui se fera avant 2015.

L'ensemble des foyers de la ville d'Orléans disposera de la fibre d'ici 2015. Les 21 autres communes de l'agglomération seront couvertes par la fibre d'ici 2020, grâce à ces nouveaux investissements des opérateurs privés. Cela représente près de 69 000 logements raccordables en zones moins denses. Ces déploiements seront réalisés par l'opérateur SFR, chef de file de l'opération pour le compte des deux opérateurs sur la Communauté d'agglomération d'Orléans Val de Loire. A l'issue de la réalisation de ces travaux, chaque client pourra choisir le fournisseur d'accès à Internet de son choix.

samedi 14 janvier 2012

Koxie à buzzer, faites passer !

Un temps à mettre un terre neuve dehors

Enfin, l'hiver semble poindre le bout de son nez pour le plus grand bonheur de nos grizzlis


N'ayez crainte, ils s'amusent : viens te battre si t'es un chien !

Pas de doute, Némo est bien un terre neuve

Après l'effort, le réconfort

dimanche 8 janvier 2012

Musée du Quai Branly ou le bonheur du portraitiste

Le musée du quai Branly, à proximité de la Tour Eiffel, est un musée des arts et civilisations d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques. On y trouve une magnifique exposition permanente ainsi que d'autres temporaires. Actuellement, s'y déroule une rétrospective sur les Samouraïs. L'éclairage est extrêment travaillé et met en valeur les collections. Le seul petit bémol est l'omniprésence des vitrines qui provoquent de désagréables reflets dont le photographe doit constamment essayer de s'affranchir en cherchant le bon angle. Parfois je ne l'ai pas trouvé. Pour corser l'exercice, je me suis astreint à n'utiliser quasi exclusivement qu'une focale fixe 35mm Nikon 1.8d sans flash (c'est interdit), en 250 ISO sur mon bon D300s. Je n'ai fait aucune retouche. Je vous laisse juger du résultat avec quelques exemples pris au hasard parmi les 400 clichés que j'ai réalisés : enjoy !